Pour la première fois au monde, une étude sur les effets cliniques du monoxyde de carbone (CO) à long terme chez l’homme vient d’être réalisée par deux équipes toulousaines : l’équipe de cardiologie préventive de la fédération de cardiologie du CHU de Toulouse, et l’équipe d’épidémiologie cardiovasculaire de l’unité Inserm UMR 1027.

Grâce à une forte cohorte de sujets du projet MONICA, registre de l’infarctus du myocarde soutenu par l’InVS (l’Institut national de Veille Sanitaire) et l’Inserm, porté par le CHU de Toulouse depuis 1985, les cliniciens et chercheurs du CHU de Toulouse ont pu analyser l’impact du monoxyde de carbone sur la mortalité à l’issue de 16 ans de suivi...

Voir les résultats de cette étude notre communiqué de presse du 5 octobre 2015 Monoxyde de carbone : un tueur insidieux et silencieux. [240 ko]