358 ans après sa mort, Louise de Quengo autopsiée à l’hôpital Rangueil !
Publié le 09/06/2015 à 14h34 (mis à jour le 09/06/2015 à 17h41)
ATTENTION, cet article est une archive qui n'est plus visible sur le site Internet du CHU de Toulouse depuis le 16/06/2015.
Les autopsies pratiquées à l’hôpital Rangueil ne sont pas forcément judiciaires ou médicales à la recherche de pathologies, mais également anthropologiques.
C’est le cas de Louise de Quengo, noble dame du XVIIe siècle décédée en 1656, dont le cercueil de plomb a été découvert lors d’une fouille préventive effectuée par l’INRAP, au Couvent des Jacobins de Rennes, site du futur centre des congrès de la ville.
Elle a été scannée dans le service d’imagerie du Pr Hervé Rousseau, par le Docteur Fabrice Dédouit, et également autopsiée dans le service de médecine légale du Pr Norbert Telmon, par les Docteurs Fabrice Dédouit et Frédéric Savall.
Cette découverte majeure fait actuellement l’objet d’une couverture médiatique mondiale.
Particulièrement bien conservé, le corps a fait l’objet de nombreux prélèvements, notamment ADN, de même que les vêtements retrouvés en très bon état.
Que vont nous révéler ces prélèvements ? Est-ce qu’ils serviront la médecine du XXIe siècle ? Un « Cold Case » encore en cours…..
Pour plus d’informations sur la découverte de Louise de Quengo, retrouvez le communiqué de presse et le reportage vidéo réalisés par l’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP)
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