La DRAC et l’ARH : vers une « évaluation » des projets culturels
Publié le 17/02/2021 à 17h04 (mis à jour le 19/02/2021 à 16h19)
Ces deux partenaires représentaient un financement incontournable des projets culturels du CHU.
Le rôle de ces deux organismes étaient d’observer les « résultats » sur le terrain. Leur tâche, et celle du CHU était ardue car parler d’évaluation dans le domaine de la culture est délicat.
On ne parle pas dans ce domaine « d’audimat », de « succès public » ou encore de « nombre d’entrées ». Le « résultat » est ici mesuré de façon qualitative et non quantitative : "Les animations prévues par les Commissions culturelles des différents sites hospitaliers et financées par de l’argent public ont-t-elles été réalisées et étaient-elles de qualité ?" Telle était la problématique de « l’évaluation ».
La culture obéit à la loi de l’offre, tout autant qu’à celle de la demande : donner de la qualité quel que soit le nombre de patients présents lors d’une animation.
La DRAC et l’ARH demandaient déjà aux différents responsables culturels du CHU de penser une forme commune d’évaluation.
L’évaluation, permanente (bilans, livres d’or, calendriers d’interventions...) devait être à la fois technique (qui fait quoi, comment, où et quand, avec quels contenus et moyens) et qualitative (choix des Commissions culturelles).
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