Recherche sur l’hépatite E chez le patient transplanté

Publié le 13/01/2011 à 09h45 (mis à jour le 20/09/2011 à 09h45)

Résumé  : L’hépatite virale E, responsable d’épidémies dans les pays en voie de
développement, est endémique dans les pays industrialisés, même dans le Sud-Ouest de la France où le virus est retrouvé chez 16,6 % des donneurs de sang. Si dans la majorité des cas la maladie disparaît spontanément, le Pr Nassim Kamar et son équipe, en lien avec le laboratoire de virologie du Pr Jacques Izopet, ont montré qu’il n’en est pas de même chez les patients immunodéprimés, comme les personnes transplantées d’organes solides (rein, foie…), pour lesquelles les conséquences peuvent être graves.

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