Centre de réponse à la catastrophe (CRC)
Pourquoi créer un centre de réponse à la catastrophe ?
Publié le 09/09/2019 à 17h55 (mis à jour le 23/06/2022 à 15h05)
Officiellement lancé le 25 septembre 2019, le centre de réponse à la catastrophe constitue un projet transversal et partenarial, fondé sur la recherche, la publication, la formation, la simulation dans les domaines de la réponse à la catastrophe.
Il implique l’expertise et la coopération de nombreux acteurs :
- le CHU de Toulouse, et en particulier le SAMU 31 ;
- le service départemental d’incendie et de secours de la Haute-Garonne (SDIS 31) ;
- les services de l’État (Préfecture de la région Occitanie - Préfecture de Haute-Garonne et Agence régionale de santé Occitanie) ;
- l’Université Toulouse III - Paul Sabatier ;
- l’Institut toulousain de simulation en santé (ItSims).
Fort d’une expertise démontrée en matière de gestion d’attentats, de catastrophes naturelles et industrielles, de préparation d’événements de grande ampleur, de préparation d’exercices sanitaires (sous l’égide de la Préfecture de Haute-Garonne et de l’Agence régionale de santé Occitanie (ARS Occitanie)), les services de l’État, le SDIS 31 et le CHU de Toulouse se sont imposés comme précurseurs pour répondre à la catastrophe par l’organisation extra-hospitalière et hospitalière.
En lien avec le Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston, le CRC a vocation à participer au réseau international de réponse à la catastrophe, et à ce titre :
- Œuvrer à la préparation et la gestion des catastrophes et des crises sanitaires ;
- Assurer des formations universitaires, professionnelles et de management, de gestion des crises sanitaires et des catastrophes ;
- Intégrer et proposer des programmes de recherche dans la thématique de la gestion des crises sanitaires et des catastrophes ;
- Répondre aux situations de crise pour lesquelles l’expertise du CRC est jugée nécessaire dans le cadre des missions propres à chacun des acteurs et sous l’égide de la Préfecture et de l’Agence régionale de santé (ARS).
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