Les médicaments génériques dans la maladie de Parkinson : ce qui change en 2020

Publié le 22/01/2020 à 17h37 (mis à jour le 08/04/2021 à 15h46)

Depuis le 1er janvier 2020, les modalités de prise en charge de certains médicaments ont changé pour favoriser l’usage des génériques.

Au sein des traitements anti-parkinsoniens, le patient peut conserver le médicament princeps dans deux situations :

  1. En cas de contre-indication formelle et démontrée (CIF) à un excipient à effet notoire présent dans le médicament générique disponible. Le prescripteur devra alors ajouter la mention « non substituable » et justifier sa décision médicale.
  2. Si le patient préfère conserver le médicament princeps, il paiera intégralement le médicament (pas de tiers-payant) et devra envoyer une feuille de soins à sa caisse pour être remboursé sur la base du prix de la version générique la plus chère du moment. La différence de prix restera à sa charge.

En cas de doute, parlez-en à votre pharmacien.

Plus d’informations sur le site de l’assurance maladie (ameli.fr).