Journée internationale pour les droits des femmes #9 : Sandra Jarrin
Publié le 16/03/2023 à 00h00
ATTENTION, cet article est une archive qui n'est plus visible sur le site Internet du CHU de Toulouse depuis le 16/03/2023.
Le CHU de Toulouse est riche de l’action des femmes du personnel médical, soignant, administratif, logistique et technique qui œuvrent au quotidien à l’hôpital public pour prendre soin des patients.
Cette année encore, à l’occasion de la journée internationale pour les droits des femmes du 8 mars, découvrez le parcours, les engagements, les initiatives de plusieurs professionnelles du CHU : Céline, Aude, Odile, Siham, Clémence, Marie, Laurie, Sylvaine et Sandra.
Aujourd’hui, jeudi 16 mars 2023, nous vous proposons ce neuvième et dernier portrait.
Sandra Jarrin, infirmière et ingénieure
Depuis Léonard de Vinci, « le mouvement, c’est la vie ». Forte de cette idée, je sors régulièrement de ma zone de confort. Mes ancrages me permettent de vivre le mouvement !
J’ai un parcours atypique. Diplômée d’une maîtrise d’allemand, j’ai travaillé pour l’inspection académique lyonnaise et dans la formation des adultes. Aide-soignante en 2008 et infirmière à l’oncopole depuis 2017, j’ai investi l’accueil des étudiants infirmiers et, sous l’impulse des cadres, l’intégration des nouveaux infirmiers. Cette expérience fait l’objet d’une recherche d’un master 2, sciences de l’éducation, validé en juillet 2022.
Ce qui m’anime, c’est de faire sens, entre ce que je suis et ce que je fais. Cadres et hiérarchie m’ont offert cette opportunité via un projet pour fidéliser le recrutement en hématologie selon les paradigmes de l’accompagnement.
Soin ou formation, c’est accompagner : voilà ce qui fait sens. Au-delà des valeurs de rencontre et partage, j’ai perçu, avec le master, les enjeux d’un accompagnement professionnel. Engagée pour le service public et pour la personne en son sein, je reviens à mes premières amours : l’accompagnement par l’accueil, la formation. Cela demande écoute, remise en question pour tisser des liens de confiance. Ici mes ancrages paramédicaux nourrissent ma pratique pédagogique.
C’est pourquoi je suis IDE en hématologie ET ingénieure en pédagogie. Un challenge épanouissant, répondant au mouvement fondamental de la vie.
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