
Elle accueille de 35 000 étudiant·es et 68 structures de recherche sur ses 9 sites.
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Au CHU de Toulouse, en mai 2015, nous avons créé l’Institut Cardiomet avec pour ambition de proposer de nouvelles stratégies préventives ou thérapeutiques pour enrayer le continuum des maladies cardiovasculaires et métaboliques (obésité, diabète, HTA, maladies du cœur et des vaisseaux, maladies du foie et maladies endocriniennes).
Avec Cardiomet, nos principales missions sont de :
En quelques chiffres clés, l’activité clinique de Cardiomet peut être caractérisée par :
Des expert·es de renommée nationale et internationale constituent les équipes médico-soignantes de l’Institut Cardiomet. Ces équipes proviennent des 9 services ci-dessous, basés à l’Hôpital Rangueil ou à l’Hôpital Larrey :
Entre 2019 et 2024, l’activité de recherche de Cardiomet était caractérisée par les chiffres clés suivants :
Au sein de l’institut Cardiomet, nos activités de recherche clinique s’articulent autour de 2 objectifs :
L’Institut Cardiomet accueille régulièrement des stagiaires (master et étudiant·es).
Il contribue également à la formation des :
Elle accueille de 35 000 étudiant·es et 68 structures de recherche sur ses 9 sites.
Elle est composée de 3 départements : « médecine, maïeutique et paramédical », « chirurgie dentaire » et « sciences pharmaceutiques ».
Cet institut mène des recherches sur l’endométriose et le risque cardiovasculaire lié à la ménopause.
Il s’agit d’une unité mixte de recherche (
C’est un centre de recherches transdisciplinaire unique dédié à l’exploration globale de l’origine des altérations physiologiques liées à l’âge, afin de proposer des applications innovantes dans le domaine des gérosciences et de la réjuvénation.
Cet institut rassemble et structure des forces de recherche autour d’un but commun : améliorer la compréhension de la physiologie du tractus digestif.
Cette unité de recherche sur la toxicologie alimentaire couvre des domaines scientifiques larges, allant de la physiopathologie digestive aux perturbations d’expression génique impliquées dans le développement de maladies métaboliques et de cancers.
Les plus fréquentes sont :